LA ker FOIRE AUX QUESTIONS
Après consultation du site en long et en large vous restez malgré tout sur votre faim ? Vous vous sentez perdus car certains aspects du projets ne vous semblent pas clairs ?
Et bien Jack a pensé à vous avec une traditionnelle page FAQ !
Nous essayons de rassembler ici toutes les petites questions que le projet peut soulever et pour lesquelles nous n'avons consacré aucune page spécifique. N'hésitez pas à nous poser vos questions pour que l'on mette à jour la liste !
Pourquoi le vélo ?
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Le fait de se déplacer à vélo est une approche simple et sans prétention, ce que nous pensons être une première étape vers le dialogue. Ainsi le déplacement à vélo favorise l’échange et permet d’établir un contact authentique avec les populations rencontrées. En effet, à l’inverse des transports motorisés, le vélo porte partout dans le monde des valeurs de douceur et de coexistence sociale très fortes.
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Le vélo a un impact environnemental nul : n’utilisant que l’énergie humaine pour fonctionner, il est non polluant et constitue le moyen de transport écologique par excellence.
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Le vélo est catalyseur de réflexions. Les habitués en ont bien conscience : il s’agit d’une activité stimulante et défatigante qui a la vertu de provoquer un éveil à la fois physique et cérébral, favorisant la réflexion. En effet, le fait d’être engagé dans un effort long fait passer le corps par des états très divers. Cela va bien au-delà de la dépense physique ; il y a une dimension lié au mental, de découverte de soi-même et du monde tout autour.
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C’est un moyen de transport économique. Les contraintes de places et de poids qu’il induit, permettent de réduire les coûts de transport et de matériel au strict nécessaire et de s’affranchir du superflu.
Pourquoi la Chine ?
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En 20 ans, la Chine est devenue un acteur incontournable qui captive et fascine par sa croissance extraordinaire et son potentiel scientifique. Mais en raison de sa politique de conquête commerciale et de son régime politique ambigü, l’Empire du Milieu est également parfois source d’inquiétudes. Ce voyage est donc pour nous l’occasion de rencontrer les habitants et d’apprendre à mieux connaître ce pays, au-delà de ce qu’en disent les médias.
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Le périple à vélo est aussi une excellente opportunité pour observer concrètement les problèmes environnementaux soulevés par la croissance économique. La Chine est l’un des pays les plus touchés par l’urbanisation folle, créant des soucis de sécurité alimentaire, de baisse de la qualité de l'air, de destruction de l’environnement ou encore de pénurie d'eau.
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2014, année de notre départ, est aussi celle du 50e anniversaire de la reconnaissance de la Chine par la France qui restera le 1er pays occidental à tisser des liens économiques et culturels avec le géant asiatique. C’est dans ce cadre et via la symbolique du vélo, que nous pouvons aussi mettre en avant un autre lien créé il y a 30 ans, entre notre région d’origine, la Bretagne, et sa cousine asiatique : la province de Shandong. C’est pourquoi nous comptons également nous rendre à Yantai, ville à la pointe Est de la Chine à 700 km de Pékin, jumelée depuis 2005 avec Quimper. Le fait de lier ces deux villes en vélo, 10 ans après ce jumelage et l’obtention de notre bac a pour nous une dimension symbolique particulière.
Où allons nous dormir ?
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En 20 ans, la Chine est devenue un acteur incontournable qui captive et fascine par sa croissance extraordinaire et son potentiel scientifique. Mais en raison de sa politique de conquête commerciale et de son régime politique ambigü, l’Empire du Milieu est également parfois source d’inquiétudes.
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Ce voyage est donc pour nous l’occasion de rencontrer les habitants et d’apprendre à mieux connaître ce pays, au-delà de ce qu’en disent les médias. Mais il est aussi une opportunité pour observer concrètement les problèmes environnementaux soulevés par la croissance économique. La Chine est l’un des pays les plus touchés par l’urbanisation folle, créant des soucis de sécurité alimentaire, de baisse de la qualité de l'air, de destruction de l’environnement ou encore de pénurie d'eau.
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2014, année de notre départ, est aussi celle du 50e anniversaire de la reconnaissance de la Chine par la France qui restera le 1er pays occidental à tisser des liens économiques et culturels avec le géant asiatique. C’est dans ce cadre et via la symbolique du vélo, que nous souhaitons mettre en avant un autre lien créé il y a 30 ans, entre notre région d’origine, la Bretagne, et sa cousine asiatique : la province de Shandong. C’est pourquoi nous comptons nous rendre à Yantai, ville à la pointe Est de la Chine à 700 km de Pékin, jumelée depuis 2005 avec Quimper. Le fait de lier ces deux villes en vélo, 10 ans après ce jumelage et l’obtention de notre bac a pour nous une dimension symbolique forte.
Et les animaux sauvages dans tout ça ?
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Sur la route, nous croiserons probablement un certain nombre d’animaux. Parmi eux, il est probable que le chien soit celui qui nous causera le plus de soucis. Dans bien des pays, les chiens errants se regroupent en bandes agressives. En particulier, les chiens de Grèce et d’Anatolie sont reconnus pour leur férocité envers les cyclistes.
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Suite à nos recherches, le conseil qui revient le plus souvent est de ne pas avoir peur (ou du moins de ne pas le montrer), de faire face, de les intimider et de feinter de leur lancer des pierres. Nous pourrons vous en dire plus dans quelques mois !
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En cas de charge en cours de route alors que l’on ne s’y attend pas, nous tenterons de garder notre calme et de continuer notre progression tout en évitant de nous faire déséquilibrer. Les chiens restent des sprinteurs capables de maintenir leur cadence uniquement sur quelques centaines de mètres.
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Pour ce qui est des autres animaux et insectes, nous pensons que le respect de règles simples de prudence et d’hygiène nous permettrons de réduire les risques de morsures et piqures au minimum.